salut,
pour ceux qui aiment les fruits de mer. c'est très bon, j'en ai mangé quelques fois ceux d'espagne sont or de prix mais j'en ai gouté deux ou trois fois. et au maroc, là ils sont beaucoups moins cher. chaque année il y ades morts en espagne et au portugal pour les cueillir sur le sfalaises , les gars tombent. d'où leur prix.
http://olharfeliz.typepad.com/cuisine/2006/04/percebes_pousse.htmlAu sud de Sines la côte d’Alentejo devient rocheuse, les falaises sont de plus en plus hautes jusqu’au cap Saint Vincent.
C’est en prenant de vrais risques que les alentejanos vont chercher sur les rochers aux marées les plus basses des pousses-pieds (s’écrit aussi pouce-pied ou poussepied) – percebes (pollicepes cornucopia)
L’animal est proche des bernacles et autres anatifes géniteurs des canards selon la croyance des Écossais qui en font grande consommation.
Il faut encore savoir qu’il en existe diverses variétés (ceux de la péninsule sont différents des pousse-pieds de sable marocains, et des canadiens de Vancouver longs et clairs moins appréciés ici ).
Les pêcheurs-cueilleurs distinguent deux qualités : le pousse-pied de lumière (courts et charnus vivant côté soleil des roches) qui naturellement n’ont rien à voir avec le pousse pied d’ombre, filiforme maigrichon que l’amateur repoussera dédaigneusement
Et les fanatiques il y en a, surtout en Galice, qui classent le percebes portugais très haut (ça n'est pas peu dire).
On en trouve dans toute la zone méditerranéenne et sur la côte Atlantique pourvu qu'il y ait des rochers et de la mer.
Heureusement, ils sont encore abondants ici et valent beaucoup moins cher qu’en Espagne ce qui permet d’en servir un kilo par personne et d’en faire un repas.
Le pousse-pied se mange à peine cuit.
Pour les cuire, on va chercher une casserole d’eau de mer, on fait bouillir avec une poignée d’algues, on y plonge les percebes. 30 secondes, un rien.
Et on mange tout de suite, encore tiède.
Avec du vin blanc bien frais dans le verre.