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 La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...

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2 participants
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Myriam
Admin
Myriam


Féminin Nombre de messages : 4180
Date d'inscription : 13/06/2007

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MessageSujet: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeMar 9 Oct - 18:59

Le drame qui s'est déroulé à Lormont (banlieue bordelaise) relance le débat sur le maintient en unité psychiatrique des personnes atteintes de graves troubles mentaux. Les psychiatriques ont accordés une permission de sortie à ce monsieur au lourd passé criminel (tabassage de sa petite amie le GIGN avait dû intervenir pr le maîtriser, meurtre de son co détenu à la maison d'arrêt de Gradignan). Dernièrement, il a assassiné sa mère âgée de 56 ans en lui sciant la jambe, un geste ignoble, une voisine retrouvera un morceau du membre dans les escaliers. Avec un passé aussi chargé... pourquoi a-t-il bénéficié d'une permission aussi longue (weck end) ??? N'ont-ils (les psy) pas pressenti un eventuel passage à l'acte ??? les traitements ne perdent-ils pas de leur efficacité après une trop longue prise ???


Gironde: mise en examen du malade psychiatrique meurtrier présumé de sa mère

Le malade psychiatrique meurtrier présumé de sa mère, Guislain Yakoro, a été mis en examen lundi soir pour homicide volontaire sur ascendant et tentatives d'homicides volontaires sur agents de la force publique, apprend-on mardi de source judiciaire.

Dimanche matin, cet homme de 30 ans, interné à l'hôpital psychiatrique de Cadillac (Gironde) mais bénéficiant d'un week-end de sortie, a été maîtrisé par les policiers du GIPN après la découverte du meurtre de sa mère dans une résidence de Lormont-Génicart, près de Bordeaux.

C'est une voisine qui avait donné l'alerte en trouvant une jambe coupée dans l'escalier. Guislain Yakoro a tiré à plusieurs reprises sur les policiers avec un pistolet à grenaille et les a menacés avec une machette. Trois policiers de la BAC ont été légèrement blessés lors de l'intervention, tandis que le forcené a été blessé de trois balles au thorax et au bras. Hospitalisé au CHU de Bordeaux, il a été opéré dans la journée de lundi, avant d'être entendu par le juge d'instruction et d'être placé sous détention provisoire sur son lit d'hôpital.

Guislain Yakoro avait déjà égorgé un codétenu à la maison d'arrêt de Gradignan, en mars 2001. Il était alors incarcéré pour avoir agressé deux policiers et s'être retranché dans un appartement du centre de Bordeaux, après une dispute avec sa petite amie, en octobre 2000.

La veille du meurtre de son codétenu, il avait blessé un premier prisonnier et avait été changé de cellule, se retrouvant alors avec ce codétenu de 52 ans qui effectuait un reliquat de peine de trois jours, et qui devait sortir le lendemain matin.

Guislain Yakoro avait bénéficié d'un non-lieu psychiatrique et était accueilli depuis à l'hôpital psychiatrique de Cadillac, d'abord dans l'unité des malades difficiles, puis, depuis 2003, dans un service conventionnel après avis favorable de la commission de sortie.

Le Dr Pierre Faraggi, le psychiatre qui le suit depuis 2006, assure dans le quotidien "Sud-Ouest" de mardi que "son état était stable, il n'avait pas de comportement agressif et, surtout, sa famille était désireuse de le revoir, de l'aider". Selon lui, "il ne faut pas profiter de ce drame pour poursuivre dans une logique d'enfermement qui ne permet aucun progrès".

Le délégué régional du Syndicat national des officiers de police Lionel Laffargue réclame à l'inverse "un texte législatif pour éviter que des individus aussi manifestement dangereux puissent se retrouver dehors quatre ou cinq ans après un meurtre, simplement parce qu'ils sont irresponsables sur le plan psychiatrique". "Nous demandons que ces personnes soient neutralisées pendant une période suffisamment longue, car ils restent un danger potentiel pour la société", a-t-il dit à l'AP.

NouvelObs 10/10/07
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azedine




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Date d'inscription : 09/07/2007

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MessageSujet: Re: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeMer 10 Oct - 10:50

que faut il faire avec çà ? sarkozy lui même çà lui pose question et veut traduire ses fous devant les tribunaux, mais ces gens sont hors réalité.

voir le film Hannibal, avec je dis faut se taire (jodie foster) et hannibal laisse taire (hannibal lecter), dans le silence des agneaux,...
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MessageSujet: Re: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeJeu 11 Oct - 19:06

Cet homme dangereux mais jugé irresponsable une 1ère fois a une fois encore tué - mais cette fois ci c est de sa mère dont il s agit !!!! pourquoi laisse t on sortir des hommes Evil or Very Mad qui on le sait bien un jour ou l autre vont recidiver !!!! il va être encore dit "irresponsable" mais qui est donc le vrai coupable lui ou la société qui laissent sortir ces malades dangereux
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MessageSujet: Re: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeJeu 11 Oct - 19:14

Wessal, victime du coup de folie de sa mère
11 octobre 2007

Le domaine de la Lauch est une petite cité HLM proprette, posée au pied du vignoble, à l’écart du centre-ville de Guebwiller. L’immeuble de sept étages portant le numéro 9 ressemble à un gros cube, crème et ocre en façade, bleu pastel et rouge vif dans les couloirs. En haut à droite, les volets d’un appartement F3 du dernier niveau sont baissés. Des scellés sont posés sur la porte d’entrée. Sur le document officiel qui les accompagne, un brigadier de police a écrit : « Affaire contre Belkoudia Hassnaa, meurtre aggravé. »





Mardi matin, peu après 7 heures, cette mère de famille de 31 ans a tué Wessal, sa fille de 7 ans, en la jetant par la fenêtre. Elle a ensuite tenté de s’en prendre à sa fille aînée, âgée de 9 ans, mais son mari l’en a empêchée. Dans l’immeuble, certains voisins peinent à retenir leurs larmes. « J’attends le médecin, je suis en état de choc, je n’ose plus ouvrir ma fenêtre », confie une dame du premier, dont l’appartement surplombe l’entrée de garage où s’est écrasée la fillette. Les habitants du quartier y déposent des gerbes de fleurs.

Les époux Belkoudia, de nationalité marocaine, vivaient ici depuis une dizaine d’années. « Des gens discrets et polis », indique Armand, le gardien. « Jamais de problèmes, jamais de soucis. Elle aime ses filles et elle les élevait bien », poursuit la voisine du premier. Au septième, une autre affirme n’avoir jamais entendu de dispute. Mais mardi matin, « ça parlait fort ». Et, dans la foulée, pompiers et gendarmes ont débarqué. Sur place, les enquêteurs ont découvert une femme calme, « mais avec le regard complètement hagard, vide, abattu ». Les premières investigations semblent avoir écarté l’hypothèse d’une dispute du couple précédant les faits, mais ont permis d’établir que Hassnaa Belkoudia, sans emploi, a été hospitalisée deux fois en milieu psychiatrique, au printemps, sur une période de treize jours au total.

La jeune femme, décrite comme grande et jolie, portant un foulard discret, a souffert d’une grave dépression post-partum après la naissance d’une troisième fille, en décembre 2006. Un médecin lui a prescrit antidépresseurs et anxiolytiques. « Mais l’exper­tise psychiatrique ne révèle pas un état de démence, même si ­elle explique ses actes par un coup de tête », précise le commandant André Dubrulle, du commissariat de Guebwiller. Mardi matin, au réveil, passant devant la chambre que partageaient ses deux filles aînées, Hassnaa Belkoudia aurait ­subitement décidé de s’en ­débarrasser. « C’est diffi­cile d’expliquer rationnel­lement l’irrationnel », commente le responsable de l’enquête préliminaire. La jeune femme prétend que son mari, cariste au chômage, voulait emmener leurs filles au Maroc, mais les enquêteurs ont découvert qu’elle y est allée seule cet été et n’en est revenue que vendredi dernier.
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azedine




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Date d'inscription : 09/07/2007

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MessageSujet: Re: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeVen 12 Oct - 14:27

certains félins j'ai oublié lesquels , tigre ou lion, je ne sais plus, les mères quand elles se sentent en danger, mangent leurs progénitures.

comme je l'avais dis sur un poste "l'amour et la haine sont inversément proportionnels", çà veut dire qu'on peut basculer dans la haine et ce après avoir eu l'amour.

comme canttat par exemple, quand les sentiments, la situation joue et bien çà peut aller dans une mauvaise direction et amener au meurtre ou des choses grave.

pour le cas du gars qui tue sa mère il est clair que c'est dans une autre dimension.

pensez aux filles du roy et des prisonniers dont surement des fous dangereux en faisaient partis et quel contact ils ont eu avec les indiens ?

et les aborigènes jene vous dit pas,...

ils ont amenés des populations criminelles cohabitant avec des civilisations très diffèrentes.
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azedine




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Date d'inscription : 09/07/2007

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MessageSujet: Re: La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital...   La psychiatrie : le parent pauvre de l'hôpital... Icon_minitimeMer 17 Oct - 17:48

aah les maximes çà peut aller loin,...

Au Mexique, arrestation d'un "poète cannibale"
LE MONDE | 17.10.07 | 14h52 • Mis à jour le 17.10.07 | 14h52

La presse mexicaine l'a surnommé le "poète cannibale", parce qu'il écrivait des récits d'horreur et a assaisonné de jus de citron la chair frite de sa dernière victime, une des femmes vulnérables qu'il aimait séduire par ses talents littéraires.

Admirateur du marquis de Sade et d'Hannibal Lecter - le psychiatre anthropophage du film Le Silence des agneaux -, accro au cinéma porno et à la zoophilie, adepte de rituels de sorcellerie, cocaïnomane et alcoolique, José Luis Calva Zepeda, 40 ans, semble tout droit sorti de l'univers gore dont il raffolait.



Cet habitant de Mexico, où il changeait fréquemment d'adresse, est soupçonné d'avoir étranglé, puis mutilé, deux de ses fiancées. Mais la police enquête aussi sur un possible lien avec le meurtre de trois autres femmes au profil similaire, notamment une prostituée dont le cadavre, découvert en avril dans une valise, n'avait plus ni mains ni pieds.

Depuis son arrestation, le 8 octobre, José Luis Calva fascine l'opinion publique. Les policiers ont pénétré dans son appartement à la demande de la famille de sa compagne, Alejandra Galeana, 32 ans, mère célibataire de deux enfants et employée de pharmacie, qui avait disparu depuis plusieurs jours. Ils ont trouvé le corps démembré de la jeune femme dans un placard, une jambe dans le réfrigérateur, des os dans une boîte de céréales et un bras flottant dans un bouillon sanguinolent.

Les experts viennent de confirmer que les restes recueillis sur une assiette, une fourchette et dans une poêle à frire appartenaient bien à la jeune femme. Tout indique que José Luis Calva a mangé des morceaux de sa victime, a déclaré le procureur Octavio Romulo Salas, lundi 15 octobre, lors d'une conférence de presse.

José Luis Calva n'a pas encore effectué de déposition : blessé à la tête après avoir tenté de fuir en se jetant du balcon de son appartement, il est soigné dans un hôpital de Mexico. Mais plusieurs indices éclairent sa personnalité.

Les enquêteurs ont découvert chez lui un roman inachevé qu'il avait intitulé Instincts cannibales et où il s'était représenté lui-même en couverture, affublé du masque de cuir de l'inoubliable Hannibal Lecter. Les 120 Journées de Sodome, du marquis de Sade, était l'un de ses livres de chevet.

RITUELS DE SORCELLERIE

Selon une de ses anciennes fiancées, qui a rompu avec lui en juillet et dont la justice protège l'identité, José Luis Calva l'avait conquise en lui écrivant des poèmes. Il lui racontait que "les anges existent et qu'il était l'ange qui prendrait soin d'elle", selon le procureur. Il s'était ensuite révélé un amant possessif.

Se faisant passer pour un professeur de littérature, il finançait sa consommation d'alcool et de cocaïne grâce à la vente, dans les rues, de copies manuscrites de ses poèmes.

A la fin d'un de ses ouvrages, Le Marcheur, José Luis Calva a écrit : "Je dédie ces mots à la création la plus grande de l'univers, qui est moi."
Joëlle Stolz

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